Codes ICD-10-CM de polypharmacie
Lisez ce petit guide et découvrez les codes ICD de polypharmacie que vous pouvez utiliser. Découvrez les informations cliniques et de facturation.
Quels codes ICD-10 sont utilisés pour la polypharmacie
Il n'existe pas de code ICD spécifique pour les polypharmacies que vous pouvez utiliser. Vous pouvez toutefois utiliser les codes suivants à la place :
- T88.7XXA - Effet indésirable non précisé d'un médicament ou d'un médicament, première rencontre
Ce code CIM-10 est destiné à être utilisé sur un patient dont il a été confirmé qu'il souffre d'un effet indésirable d'un médicament ou d'un médicament. Cela peut s'appliquer à la polypharmacie. Cela a également un rencontre initiale étiquette, ce qui signifie que le patient reçoit un traitement actif contre les effets indésirables du médicament/médicament.
- T88.7XXD - Effet indésirable non précisé d'un médicament ou d'un médicament, rencontre ultérieure
C'est la même chose que l'article 1, mais cette fois, il a un rencontre ultérieure étiquette. Cela signifie que le patient est actuellement en phase de guérison mais qu'il reçoit toujours des soins actifs pour son problème.
- T88.7XXS - Effet indésirable non précisé d'un médicament ou d'un médicament, séquelles
C'est la même chose que l'article 1, mais cette fois, il a un séquelle étiquette. Cela signifie, du moins dans le contexte de ce sujet, que le patient est aux prises avec les séquelles quels que soient les effets indésirables des médicaments/médicaments. Les codes de séquelles doivent donc être accompagnés de deux autres codes CIM-10, dont l'un doit spécifier la nature de la séquelle, tandis que l'autre doit décrire ses effets sur le patient.
- Z91.89 - Autres facteurs de risque personnels précisés, non classés ailleurs
Ce code CIM-10 est destiné à être utilisé sur un patient présentant un risque confirmé. Dans le contexte de cette rubrique, cela peut être utilisé si le patient présente un risque de polypharmacie sur la base des tests effectués sur lui. Cela est inacceptable en tant que diagnostic principal, car il ne s'agit pas exactement d'une affection. Il explique simplement ce à quoi le patient risque de faire face.
Ces codes ICD de polypharmacie sont-ils facturables ?
Oui Tous les codes CIM-10 relatifs à la polypharmacie mentionnés ci-dessus sont valides et facturables.
Informations cliniques
- La polypharmacie fait référence à l'utilisation simultanée de plusieurs médicaments par un seul patient, en particulier lorsqu'un professionnel de santé ne coordonne pas les médicaments.
- Elle est plus fréquente chez les patients âgés qui doivent souvent gérer plusieurs problèmes de santé simultanément.
- La polypharmacie peut entraîner des interactions médicamenteuses nocives, des effets indésirables et une augmentation des coûts de santé.
- Les cas de polypharmacie ne sont pas tous problématiques. Une polypharmacie appropriée, où tous les médicaments sont cliniquement justifiés, peut être bénéfique.
- Il est essentiel que les professionnels de santé revoient régulièrement les schémas thérapeutiques des patients afin de réduire le risque de polypharmacie inappropriée.
- L'éducation et l'autonomisation des patients sont des stratégies clés pour gérer efficacement la polypharmacie.
Les synonymes incluent :
- Interaction médicamenteuse indésirable
- Interaction médicamenteuse indésirable avec les médicaments
- Réaction médicamenteuse fixe
- Interaction médicamenteuse
- Potentialisation des interactions médicamenteuses
- Risque de polypharmacie
Questions fréquemment posées
À l'heure actuelle, il n'existe aucun code ICD spécifique dont le nom contient la polypharmie.
Les professionnels de santé peuvent se référer aux critères de Beers et aux critères STOPP/START pour déterminer quels médicaments présentent le risque le plus élevé d'entraîner des effets indésirables lorsqu'ils interagissent avec d'autres médicaments, suppléments, aliments et boissons.
Les professionnels de santé peuvent juguler et gérer la polypharmacie en déprescrivant des médicaments. Ils le feront déprescrire le nombre de médicaments que leurs patients devraient prendre. Pour ce faire, ils identifient ceux qui ne sont pas bénéfiques pour leurs patients, en particulier à long terme, puis les retirent de leur plan de traitement.